Le pied du célibat
Sans cesse poussé vers de lointains rivages
à s’embarrasser d’une nouvelle conquête,
toujours armé du plus grand des courages
pour s’enfuir vers une autre et faire la fête,
l’homme faisait de tous ses voyages
une escale où trouver le repos du guerrier.
C’était en somme « consommer à tous les râteliers »
sans l’inconvénient de s’engager.
C’était, comment dire ?
c’était pour lui
LE PIED !
© Monique-Marie Ihry – 1er février 2018 -
extrait d’un recueil de poésie de l’auteure
toile de l’auteure intitulée « Fervente supplique »
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