Poème court 2522
J’abandonnerai ma douleur sur le pas de ma porte dès l’éclosion d’un seul baiser de toi, un baiser d’oiseau, léger et doux comme une plume, un baiser azur, baiser de joie et d’harmonie au printemps d’un renouveau…
© Monique-Marie Ihry
texte déposé
Extrait d’un recueil de poésie de l’auteure
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